En France, 300 000 personnes sont sans-domicile fixe. Ce nombre à triplé depuis 2001…

Face à l’augmentation constante des besoins, les dispositifs d’accueil d’urgence sont saturés. De plus, le parcours pour accéder à un logement de droit commun, qui enchaîne différentes formes d’hébergement temporaire, ne permet pas aux personnes de se sentir suffisamment sécurisées vis-à-vis du lendemain pour pouvoir se projeter sur le moyen terme et envisager sereinement un parcours de réinsertion

Des solutions alternatives telles que Toit à Moi sont donc absolument nécessaires !

Toit à Moi est née à Nantes en 2007 de la volonté d'aider des sans-abris à sortir durablement de la rue grâce à un mouvement citoyen et à l’engagement des entreprises. Au centre, une conviction : le logement seul n’est pas une solution satisfaisante, l'accompagnement est essentiel.

Son action repose sur trois volets : 

  - un logement individuel, digne, préalable à toute réinsertion ;

  - un accompagnement social global personnalisé pour soutenir les personnes dans leur quotidien, les aider dans leurs démarches et construire avec elles un nouveau projet de vie ;

  - un réseau de bénévoles impliqués pour tisser des liens et rompre l’isolement.

En 15 ans, Toit à Moi a accompagné 113 personnes et essaimé son action dans 13 autres villes en France. 160 bénévoles, 2300 donateurs et 130 entreprises mécènes lui font désormais confiance.

Déjà 53 appartements c'est-à-dire 53 ménages à l’abri chaque année. Objectif à 10 ans : 1000 logements !

Votre soutien financier permettra l’achat de matériel pour la réalisation des travaux dans 5 nouveaux appartements. Il permettra également d’acquérir les équipements et le mobilier nécessaire à leur aménagement. Les travaux et la décoration seront ensuite réalisés par les super bénévoles de l’association.

L’objectif est de pouvoir accueillir d’ici le mois de juin 2023 5 nouveaux ménages dans des appartements fonctionnels et chaleureux. Toit à Moi est propriétaire des logements. Cela lui permettra d’y accueillir ensuite d’autres personnes sans-abri (3 à 4 en moyenne par appartement sur 10 ans).